Histoire d’Halloween : Le petit lutin
Halloween approche, et comme chaque année, trouver une histoire à raconter aux petits enfants peut s’avérer un défi. Voici une histoire pour Halloween, simple et efficace ! Elle est se trouve à l’origine sur le site Waldorfhomeschoolers.com, en anglais ; son auteure est « Miss Kathryn ». histoire d’halloween histoire d’halloween histoire d’halloween histoire d’halloween histoire d’halloween histoire d’halloween histoire d’halloween histoire d’halloween histoire d’halloween histoire d’halloween histoire d’halloween
Traduction de l’histoire Le petit lutin
Il y avait une fois un petit lutin qui vivait dans les bois, dans un petit vallon rocheux. Il était en fait assez particulier, car il avait pour passe-temps favori de jouer des tours aux paysans et à leurs enfants, ainsi qu’aux habitants du village et leur famille.
Quand la nuit était venue et qu’il faisait sombre à l’extérieur, le petit farfadet regardait son vallon rocheux, et si la lune brillait, et que les étoiles scintillaient, le petit farfadet se glissait à travers les bois. Il se faufilait alors à droite dans l’étable d’un paysan, où les vaches étaient paisiblement à grignoter du foin, et savez-vous ce que ce vilain lutin faisait ? Rapide et calme, il prenait la queue d’une vache, puis la queue d’une autre, et les attachait ensemble avec un noeud. Alors, le lendemain, quand le fermier viendrait pour les conduire au pâturage, il serait bien attrapé !
Ensuite, le lutin coquin se glissait dans le poulailler ; il y prenait tous les beaux œufs bruns sur les nids et les cachait dans un coin sous la paille. Le lendemain matin, les enfants de la ferme ne trouvaient aucun œuf à ramasser !
Alors le petit farfadet allait ensuite tout droit au village, vers les maisons des habitants. S’il y avait quelques jouets d’enfant dans le jardin, il les emmenait et les cachait. Puis il montait sur les porches, tirait les sonnettes, et rapidement, avant que les gens ne puissent voir qui était à la porte, il s’enfuyait et se cachait.
Finalement, les paysans, leurs enfants, et les habitants et leurs enfants, furent très fatigués de subir les tours pendables du farfadet. Un jour, il se réunirent tous pour essayer de décider quoi faire. Ils réfléchirent de toutes leurs forces, et, soudain, quelqu’un dit : « Je sais comment nous pouvons mettre un terme aux tours stupides de ce cochon de lutin ! Maintenant, tout le monde va dans les champs et tente de ramener le plus grand légume que vous pouvez trouver. »
Alors, tout le monde alla dans les champs, et les plus grands légumes qu’ils trouvèrent étaient les grandes, rondes, citrouilles jaunes. Tout le monde en ramena une. Alors l’homme dit : « Maintenant, regardez ce que je fais. » Il coupa le haut de la citrouille pour en faire un chapeau. Puis il ramassa toute la pulpe, et toutes les graines, puis il dit : « Et maintenant, voici la partie importante. » Il prit son couteau et coupa deux yeux et un nez, et une grande bouche souriante.
Puis il dit à tous les gens : « Vous devez tous faire des lanternes comme celles-ci, et mettre une bougie à l’intérieur de chacune. Alors ce soir, quand il fera sombre, vous mettrez votre lanterne citrouille à votre fenêtre ou sous votre porche et allumerez la bougie. Nous tromperons ce vilain farfadet ! » Alors les gens ramenèrent leur citrouille à la maison, et quand la nuit fut venue, ils mirent les lanternes à leurs fenêtres ou devant leur porche, et allumèrent les bougies.
Cette nuit-là, le petit lutin scruta son petit vallon rocheux, et, bien sûr, la lune brillait et les étoiles scintillaient, alors il se glissa à travers les bois jusqu’à la première ferme. Il était sur le point de se faufiler dans la stalle des vaches, quand soudain il remarqua un grand visage d’or lui souriant. « Oh ! », cria-t-il, « quelqu’un me regarde ! Je ferais mieux de ne pas aller là-bas ! »
Et il s’enfuit rapidement. Jusqu’au poulailler, il couru, et il était sur le point d’y entrer quand il vit le grand visage d’or lui souriant. « Oh ! », hurla-t-il, « Je ferais mieux de ne pas rester ici, quelqu’un me regarde ! », et il se sauva vers le village. Mais comme il était sur le point de monter au porche de la première maison et de s’apprêter à sonner, il s’arrêta subitement. « Oh ! », s’écria-t-il, « Je ferais mieux de ne pas rester ici, quelqu’un me regarde ». Et, effectivement, il y avait un autre grand visage doré lui souriant.
Alors, le farfadet facétieux en question couru aussi vite qu’il le pouvait pour revenir à son petit vallon rocheux, et à partir de ce moment, il surveilla ses manières !
Je vous rappelle que, sur ce site, vous trouverez différents modèles de gnomes à réaliser en laine:
- ces délicieux petits lutins au crochet
- des nains Waldorf traditionnels au tricot
- ou encore ces jolis gnomes au tricot eux aussi
Il y en a donc pour tous les goûts et ces nains faciles à réaliser vous permettront de jouer cette histoire tout en la racontant !
Il ne me reste plus qu’à vous souhaiter un joyeux Halloween !
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Qu'est-ce que la Samain
La Samain (ou Samhain) est une ancienne fête celtique marquant la fin de l'été et le début de la saison sombre. Elle est célébrée autour du 31 octobre et est considérée comme le Nouvel An celtique. C'est un moment de transition où le voile entre le monde des vivants et celui des morts est le plus mince, permettant une connexion avec les ancêtres.
Quelle est la signification spirituelle de la Samain ?
Spirituellement, la Samain symbolise la mort et la renaissance. C'est une période propice à l'introspection, à l'honoration des ancêtres et à la préparation de la nouvelle année. Elle invite à ralentir, à se reconnecter à soi-même et à la nature, et à semer les intentions pour l'année à venir.
Comment célébrer la Samain aujourd'hui ?
Pour célébrer la Samain, on peut allumer des bougies en mémoire des défunts, créer un autel avec des symboles de la saison, méditer, écrire ses intentions pour la nouvelle année, ou partager des histoires autour d'un feu. C'est également l'occasion de ralentir le rythme et de se reconnecter à la nature.
Quelle est la différence entre Halloween et la Samain
Halloween est dérivée de la très ancienne fête celtique de la Samain. Alors qu'Halloween est devenue, pour beaucoup, une fête commerciale axée sur les costumes et les bonbons, la Samain conserve une dimension spirituelle, centrée sur le cycle de la vie, la mort et la renaissance, et sur la connexion avec les ancêtres. On tend à voir, cependant, un mouvement vers une "resacralisation" de l'Halloween. Mais, dès lors, pourquoi ne pas redonner à la Samain toute l'importance qu'elle revêtait pour nos ancêtre ?
Pourquoi la Samain est-elle important dans la tradition celtique ?
La Samain est l'une des quatre grandes fêtes du calendrier celtique. Elle marque un moment de transition crucial, où les communautés se rassemblaient pour célébrer, honorer les morts et préparer l'hiver. Elle reflète la vision cyclique du temps dans la tradition celtique, où chaque fin est aussi un nouveau commencement.
Trop mignonne cette petite histoire !
Je l’ai trouvée très espiègle 😉
Merci pour cette jolie histoire qui accompagnera parfaitement notre citrouille souriante 🙂
C’est un plaisir ! Je vous souhaite un heureux moment en famille !
Bonjour Monique, est-ce que je peux citer le texte de cette histoire – et sa source !!! sur le Babyblog.doctissimo.fr ? Grand merci !
Oui, bien sûr Olivia !